Karaoké made in Korea
Voici, en guise de billet paresseux du samedi, le définition de 노래방 (noraebang), qui traduit mot à mot, donne « pièce à chansons. » Mentionnés dans les annales de l’histoire de la Chine sous le terme de « peuple qui chante », les coréens font encore honneur à cette antique réputation et fréquentent assidument les quelques (dizaine de ?) milliers de noraebangs du pays. Assis dans une salle privée (dont la taille varie en fonction du nombre d’invités), on boit entre amis en poussant la chansonnette que l’on aura préalablement sélectionnée à partir d’un catalogue aussi épais que les pages jaunes. Comparé au karaoké classique, l’avantage du noraebang est évident : le ridicule n’est pas public !
Parce que mes chers lecteurs le valent bien, voici pour illustrer ce billet une vidéo des championnes du monde du noraebang toutes catégories, connues ici sous le nom de 두여자 (deux filles), tout simplement :
Cela vous a plu ?! Allez, en voici une autre où elles interprètent "Chat romantique"...